Diana Saliceti désire prendre racine sur la terre de ses anciens tout en bâtissant des ponts la menant sur les pourtours de la Méditerranée. C’est ainsi que l’on retrouve dans sa voix, des airs de tarentelles italiennes, de fado portugais ou encore d’incantations africaines. C’est pourtant dans le chant corse traditionnel et notamment polyphonique que Diana a puisé son amour de la musique.
Natale Luciani, Jean-Pierre Godinat de Cinqui Sò ou encore Jacques Culioli ont été pour elles des maîtres de chant. Un lien privilégié avec une terre et une langue sans cesse renouvelé au fil des rencontres et, notamment avec ses musiciens tous issus d’univers différents, du classique au rock en passant par le folk. C’est avec eux, que l’insulaire a enregistré à l’automne son premier album en autoproduction dans sa maison familiale de Salgetu au cœur du Rustinu.
Aiò | ||
Caldamoni | ||
Citadella | ||
È po più | ||
Forse | ||
In i to ochji | ||
Sola | ||
U mo paese sì tù |